Créateur et iconoclaste depuis 1996, Tasman Richardson a présenté ses œuvres en Amérique, en Europe et en Asie dans le cadre de nombreuses expositions personnelles et collectives. Sa pratique se concentre principalement sur le collage vidéo en utilisant la méthode JAWA (selon le manifeste qu’il a lui même rédigé en 1996), mais également sur des installations numériques immersives, de la performance live A/V, et des objets décoratifs en édition limitée réalisés sous l’alias Pseudonym. Ses installations Necropolis au MOCCA (2012) et Karsh-Masson (2015) ont reçu de nombreuses critiques positives et sa double composition Janus présentée à la Art Foundation d’Athènes en 2016 a été présentée à nouveau à Calgary en 2017 au festival EMMEDIA’s Particle and Wave. Basé à Toronto, il a récemment organisé un programme artistique à destination d’artistes internationaux nouveaux médias dont il était le commissaire dans le cadre de son projet d’expressionnisme abstrait live intitulé « The New Flesh » pour la Music Gallery.